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 ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. »

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4 participants
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Esteban L. Goerdizös

Esteban L. Goerdizös


Date d'inscription : 01/02/2009
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Age : 37
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Divinité jouée : Arès, Dieu de la Guerre
Pouvoir/Humanité Développée : Force

Emploi : Tavaille dans une salle de sport
Humeur : Dévastatrice


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Âge du perso: 3370 années divines -- 27 années humaines
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MessageSujet: ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. »   ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » EmptyDim 1 Fév - 23:50


GOERDIZOS; Esteban Lukas



ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » Ivyc9j
3370 ans (mais en fait 27)
Coach dans une salle de sport
Dieu de la Guerre


FALLEN GODS


    « Je te hais plus qu'aucun des dieux qui vivent sur l'Olympe
    Car tu ne rêves que discordes, guerres et combats. »

    Zeus; à son propre fils


    « Cœur hardi, porteur de bouclier sauveur des cités, coiffé d'airain,
    Aux mains robustes, infatigable, fort par la lance, rempart de l'Olympe,
    Père de la Victoire, heureuse conclusion des guerres, auxiliaire de Thémis ;
    Maître absolu de l'adversaire, guide des hommes les plus justes. »




    Pseudonyme/Prénom ; Steph
    Âge ; 21 ans
    Fille ou Garçon ; Fille
    Célébrité ; Chace Crawford ♥️♥️
    Code du Réglement ; code ok
    Une suggestion ? J'adore l'idée ^^
    Comment avez-vous découvert le forum ? Bazzart ^^


Dernière édition par Esteban L. Goerdizös le Mar 3 Fév - 2:44, édité 2 fois
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Esteban L. Goerdizös

Esteban L. Goerdizös


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MessageSujet: Re: ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. »   ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » EmptyLun 2 Fév - 21:14

« Il était une fois la haine »


    Fils de Zeus et Héra, il est de ceux qui a sa place sur l'Olympe de par son code génétique (bien qu'on ne parle pas de cela à l'époque). Malheureusement, son caractère difficile, cette colère ingérable fit de lui un Dieu à part des autres, mis volontairement à l'écart car on ne voulait pas devenir son ennemi. Son ami non plus. Une chose l'intéresse : la guerre et tout ce qu'il y a autour. La violence, le sang, l'ordre, les armes, Arès permet aux hommes de s'entretuer afin de résoudre un conflit, d'obtenir une terre ou simplement d'assouvir une vengeance, son autre fonction. Il ne veut personne face à lui, voue une haine indéfinissablement grande à son double, Athéna, celle qui représente la guerre avec la facette positive (recherche de paix, stratégie) alors que lui ne veut que la victoire, peu importe le nombre de morts ... Il n'est pas vraiment quelqu'un qu'on apprécie, et il ne le cherche pas non plus. Seule une a réussi à le dompter, à le comprendre. Une seule lui a appris à aimer. Normal puisqu'elle l'incarne en toute beauté ... Un adultère qu'il assume, n'y voit qu'une passade mais elle le comprend, le calme, le rend plus docile, c'est entre ses bras que l'amour prend tout son sens. Il n'est pas marié, personne n'a jamais voulu se lier à un tel être imbu de sa personne, arrogant, beau mais le sait et sa colère défigure souvent son visage, ses grands yeux bleus s'assombrissent et sa tignasse blonde revient souvent ébouriffée après un combat. Il a des enfants mais la plupart sont des tueurs. On sait de qui ils tiennent !
    Mais stoppons là notre prologue et fixons nous sur quelques évènements de la vie d'Arès, ce Dieu mal aimé et controversé.

    « La guerre est mon oxygène »

    Il avait été d'accord. Au mariage de Thétis, lorsque la pomme d'or fut déposée pour la plus belle, lui avait déjà fait son choix intérieurement. Pas cette idiote d'Athéna, il ne voulait pas lui laisser une seule victoire et n'était nullement attirement, la haine enlaidissait les gens. Pas Héra, sa mère qui ne l'aimait pas, le trouvait trop violent, partial et incontrôlable. Il ne restait que la plus belle, la divine Aphrodite, la seule au monde qu'il portait en son cœur et qui portait à merveille les pouvoirs qu'on lui conférait, la beauté et l'amour. Lorsque Paris fit son choix, il avait savouré sa victoire intérieure, n'avait pu s'empêcher d'aller narguer Athéna avec un des raresc sourires, du genre moqueur et victorieux à la fois. Et dire que cette stupide histoire de beauté conduisit à la plus grande guerre de l'époque. Pour un idiot de berger, fou amoureux de la plus belle mortelle de Grèce. A cause de lui, tout bascula. Pour une histoire de beauté, mais les humains n'ont-ils jamais compris qu'elle se flânait au fil des années, que seul restait dans l'histoire les batailles ? Voila pourquoi lui, Esteban, resterait dans les annales pour la nuit des temps ... Voila à quoi il pensait, en haut de la colline pour observer la bataille se faire devant les hautes portes de la ville fortifiée de Troie. Comment ces idiots peuvent ils entrer ? Ils n'arrivent pas à tuer les soldats troyens surentrainés, comme s'ils attendaient ce moment depuis leur naissance. Et tous ces archers, Arès se délectait de voir ces flèches se planter un peu partout, voir des guerriers grecs tomber et mourir sans pitié. Ils resteront à leur place jusqu'à la fin du combat, après chaque camp ira ramener ses morts pour les bruler avec les pièces sur les yeux, afin de payer le passeur et dire bonjour à ce bon vieux Hadès. Bien évidemment qu'il y participa, n'était-il pas le Dieu de la Guerre par excellence ? Il prit le parti des Troyens, logique, vu que sa soeur prenait celui des Grecs. Chacun choisit son camp se mit en guerre. Mais trêve de paroles inutiles, son visage sombre bien que ses yeux azurs brillaient de mille feux incandescents, il leva son épée et hurla à son armée derrière lui.

    « A l'attaque ! Soyez sans pitié, ne pensez qu'à la victoire ! Que le sang des grecs coule à flot !»

    Son cheval se cabra et il partit au galop. Le Dieu lui-même prenait par au combat, sans scrupule, casque pour protéger sa jolie chevelure blonde et son cerveau remplit de stratégie. Il attaqua sur le flanc droit, le moins protégé, plus faible et donc plus facile à combattre. Sa victoire fut immense bien qu'il était un des rares à ne pas prendre parti des Grecs, il s'en moquait, seule comptait la victoire, une sorte de drogue. Le voila victorieux, seul, mais heureux. Et un sourire arrogant vint naitre sur son visage en s'endormant ce soir là, épée dans son lit. Pourtant le lendemain, une mauvaise surprise l'attendit. Maudit Diomède, pantin de sa sœur détestée, ce soit disant héros va jusqu'à s'attaquer aux Dieux ! Il blessa Arès, pris au dépourvu et le maudit et lâcha plus d'un millier d'hommes partir combattre pour mettre à sac l'armée grecque tandis qu'il alla voir Athéna avec cette haine plein les yeux.

    « Toi et ton jouet de pacotille tomberez ! Lorsqu'il ira aux Enfers, je me chargerais moi-meme de lui organiser un accueil comme il le mérite. »

    Sa haine n'était pas mesurable tant il était en colère et ne fit qu'attiser celles des combattants pour avoir plus de sang, plus de morts. Et il était bien décidé à gagner. Malheureusement la joie ne fut que de courte durée. Courte, enfin, pendant presque dix ans ! Il eut suffit ce stupide Ulysse et son maudit cheval. Malgré l'armée levée, être pris au dépourvu était le meilleur moyen d'atteindre la défaite. Troie fut pris en quelques heures, après avoir été mis à feu et à sang. Il perdit sa plus grande bataille au profit de sa sœur Athéna, fière qu'elle se pavana devant lui sans borgne. Il préféra partir, ruminer sa colère, créer d'autres batailles par-ci par-là pour se calmer mais en vain.

    « La haine est mon mot d'ordre »

    Durant cette même guerre, il y eut une autre bataille, interne et familiale. Personne n'ignore cette rivalité entre frère et sœur, Arès perdait souvent et l'avait en travers de la gorge. Un cercle infernal : il la provoquait, elle relevait le défi, il l'attaquait de front, elle de coté et la jeune femme gagnait. Il en avait assez et cette guerre de Troie serait un moyen de lui prouver sa supériorité. Il se reposait au soleil un jour où il n'y avait pas de bataille : trop de morts à bruler, Hadès allait devoir faire des heures supplémentaires et cela lui fit dessiner un rictus sur son visage de méchant. Les yeux clos, il ne pensait qu'à une chose, une personne : Aphrodite. Cette jolie brune le hantait et il avait beau cumulé les conquêtes féminines par-delà le monde, consentantes ou non, et ainsi semer des petits bâtards un peu partout, elle restait la seule qui le calmait. Et les voila, seuls contre tous dans cette éternelle guerre, main dans la main alors que le mari de cette dernière forgeait les armes du puissant Achille. Mais lorsqu'un nuage gâcha le soleil, un mauvais souvenir revint à son esprit : sous les murs de Troie, l'intervention d'Athéna dans une mêlée où figure Arès aboutit à un échec pour ce dernier. Pourquoi se mêlait toujours de ce qui ne la concernait pas ? Qu'elle aille se trouver une âme au lieu de porter cette stupide virginité qui la rendait austère à ses yeux. Il se rappela en détail de ce douloureux moment : le puissant homme enfonçait son épée dans les tripes des Grecs avec un cri de victoire, hurlait son terrifiant cri célèbre "îalalé, alalaî" qui glaçait le sang de ses attaquants, idéal pour décimer davantage. Mais elle, cette garce frustrée, l'attaqua avec ce qu'il s'attendait la moins. Il aurait pu esquiver un coup d'épée, casser une lance ou répondre d'un coup à main nue. Mais une grosse pierre ! Il la prit de pleine joue, ce qui le fit tomber au sol dans la poussière. Quelle humiliation, lui, le Dieu de la Guerre, mit à terre par son homologue, une femme ! Il se lamenta, se remit doucement et eut du mal à se relever. Aphrodite vint à son secours, la seule à le faire comme toujours mais Athéna lui mit une gifle monumentale pour l'en empêcher. Là seulement il se releva, souleva de terre sa sœur pour la plaquer contre un mur. La haine se lisait au fond de son regard, il la serra au cou pour l'étrangler mais cela était bien inutile, les Dieux sont bien immortels. Mais infliger la douleur, se venger tandis qu'un filet de sang coulait au coin de sa bouche. Arès la détestait, s'il pouvait la tuer, il ne prendrait pas la peine de la torturer, l'achèverait d'un coup d'épée, de lance ou alors la battre à mort. Autant d'idée lui traversèrent l'esprit mais seuls des insultes sortirent de sa bouche.

    « Espèce de raclure frustrée, tu crois me battre avec ta pierre ? Au lieu de jouer aux jeux d'homme, vas te faire du bien, te décoincer au lieu de venir sur MES plates-bandes ! »

    Puis il la lâcha et poussa les soldats pour se frayer un chemin, planta son épée pour celui qui osait se mettre en travers de son chemin. Il l'aurait un jour, pas aujourd'hui mais pourquoi pas dans mille ans ou plus. Lorsqu'il entra au campement, Aphrodite l'attendait là. Son regard colérique s'adoucit immédiatement lorsqu'il la regarda, un linge humide à la main pour le soigner. Il était blessé par la bataille, par la pierre mais surtout moralement. Son ego en prenait un coup, il ne montrait rien mais cela se concentrait en haine, et tout disparaissait avec le sourire d'Aphrodite, sa douceur lorsque sa main se posa sur son visage pour le lui caresser et que le morceau de tissu vint essuyer ce sang dégoulinant au coin de sa bouche.

    « Je la hais, plus que tout au monde. Même Héra mérite plus de considération que cette idiote, maitresse d'une ville qu'elle ne mérite pas, victorieuse car elle est l'aimée du père. Je la détruirais, je ne sais pas comment mais je l'aurais.»
    « Chut, calme toi, elle n'est pas là.»

    Sa jolie voix l'apaisa et il ferma les yeux, se laissa tomber sur un fauteuil aux tissus de soie et sa main continua de se faufiler dans ses chevelure blonde tandis qu'elle continuait de la soigner. Le visage du Dieu devint serein et il se laissa faire. L'Amour personnifié avait eu raison de lui et elle le prouvait.

    « Mais moi, oui.»

    Il sourit enfin. Rares étaient les fois où cela se produisait mais toujours en présence de la plus belle femme de l'Olympe. Ses yeux la dévisagèrent, ses longs cheveux bruns en cascade sur son dos, sa toge blanche presque transparente que cela en devenait indécent. Avec elle, cela n'était pas une histoire de sexe. Non, il lui faisait l'amour comme à personne d'autre. Sous la tente de son campement, deux diamétralement opposés ne parlaient pas mais tout passait par les regards, les gestes, les légères caresses, effleurements de chacun. Voila peut être à quoi ressemblait un couple idéal : pas besoin de partager les mêmes passions ni de grandes discussions. Juste se sentir bien. Pourtant, il lui suffira de sortir de cette tente pour haïr à nouveau et chercher comment il pourrait nuire à sa sœur. Voila un moteur dans sa vie : la haine.




Dernière édition par Esteban Luka Goerdizös le Mar 3 Fév - 1:19, édité 1 fois
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Esteban L. Goerdizös

Esteban L. Goerdizös


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    « L'amour est la plus belle des faiblesses »

    C'était une belle journée. Arès montait deux cités l'une contre l'autre pour une stupide histoire d'un bateau coulé par hasard dans des circonstances suspectes. Son passe-temps favori était de monter les hommes les uns contre les autres afin de provoquer une guerre, le plus beau spectacle qu'il pouvait voir, pour une fois que les mortels servaient à quelque chose. Apollon avait été clément aujourd'hui par un grand soleil, la mer était bleue azur, comme les yeux traitres du Dieu et les céréales dorées se courbaient sous une légère brise. Pourtant, il attendait la nuit avec une impatience non contenue. Rien que de penser à son rendez vous nocturne, son cœur se mit à battre plus fort et ses yeux brillèrent de milles feux. Le jour était trop risque alors, après le passage du Dieu Soleil sur son char, tout était permis. Voila ce qu'avaient conclu les deux amans, Aphrodite et Arès. Elle était mariée et cet homme laid et forgeron, une sorte de compensassions quant à sa laideur. Lui couchait les filles les unes après les autres, qu’importent qu’elles veulent, c'était lui qui décidaient. Mais elle ... Sa beauté l'ensorcelait totalement, la jeune femme avait cette douceur et cette tendresse qui le calmait. Elle était la seule à pouvoir le faire mais personne ne devait savoir quoique ce soit. Pour vivre heureux, vivons cachés. Voila pourquoi ils se retrouvaient à l'écart du monde, là où personne ne les trouverait : dans la chambre de la femme. Il y venait une fois la nuit tombée avec Alectryon, une sentinelle qui devait le prévenir lorsque le soleil se levait afin qu'il puisse repartir sans que personne ne sache.

    Enfin, le soleil se coucha et il se mit en route vers chez sa maitresse. Héphaïstos se trouvait toujours dans son atelier, Arès grimpa jusqu'au balcon de la déesse où la fenêtre était ouverte, comme une invitation. Elle se trouvait là, nue sur son lit, endormie. Il resta ainsi à la contempler inlassablement tant elle était belle, aucun vêtement pour la couvrir. Puis il s'approcha à pas de loup, se déshabilla et la rejoint dans le lit avant de l'embrasser dans le cou, d'une manière si douce que cela en provoqua des frissons à la jeune femme sans vraiment de vertu qui ouvrit doucement les yeux et se retourna pour regarder son amant en face.

    « Tu es en retard, je m'étais assoupie »
    « Apollon a trainé un peu dans le ciel, je ne voulais prendre aucun risque. Pourtant tu les vaux tous. A te voir, je comprends Paris qui a crée une guerre pour une femme. »

    Et il l'embrassa tendrement, ses mains vint caresser son corps avant de passer au-dessus d'elle, il la contempla longuement tant elle était belle. Qui aurait pensé qu'il puisse être aussi tendre avec quiconque en ce monde ? Juste elle, leur secret à tous les deux pendant les nuits qui n'appartenaient qu'à eux. Il lui fit l'amour avec passion et tendresse, il ne la quitta pas des yeux, il en était incapable avant qu'elle ne se tienne contre lui, blottit son corps nu, l'enlaça de ses petits bras fin, le menton posé sur le torse d'Arès pour pouvoir le voir sourire, heureux, serein, bien loin de cet homme en colère qu'elle voyait lors des réunions sur l'Olympe. Il lui caressait les cheveux aussi doux comme de la soie, puis son dos velouté comme de la pêche. La perfection incarnée qu'elle animait à la moindre respiration. Elle lui déposa un baiser de sa jolie bouche pulpeuse sur le torse bien fait, musclé du guerrier.

    « Il est honteux que tu aies un mari aussi laid et idiot. Je t'aurais mieux convenu, à nous deux, nous aurions eu le monde à nos pieds. J'aurais pu détruire des civilisations entières et toi tu aurais fait aimer les survivants, on m'aurait détesté mais toi tu aurais été adulée. Mais cet abruti ne te convient pas, tant au niveau physique que mental » Dit-il, amer.
    « Mais il est habile de ses mains. » Répondit-elle, amusée.

    Il rit, encore plus rares que les sourires. Elle était légère, autant que ses robes indécentes aux décolletés profonds et à la transparence du tissu, n'avait cure d'être mariée à un homme alors qu'elle en voyait d'autre, gardait même le fruit de leur amour. Ensemble, ils eurent des enfants ensemble, dont une paire de jumeaux, terriblement turbulents, comme leur père. Héphaïstos n'en savait rien et cela resterait à jamais secret. C'est ce qu'ils croyaient. Ils s'endormirent dans cette position. Alectryon serait chargé, comme à chaque fois, de les prévenir que le soleil allait se lever pour que les amants se séparent. Mais ce matin là, il s'était assoupi lui aussi. Alors lorsqu'Hélios, le soleil, vit cette scène, tout alla très vite. Héphaïstos fut mis au courant et au lieu de surprendre le couple au lit, il eut une meilleure idée. Il usa de son savoir-faire unique pour fabriquer une couverture magique qu'il jette dur les deux amants, toujours enlacés, une sorte de filet invisible cette couverture légère comme une gaze solide comme l'acier piège dans leur étreinte la femme adultère et son terrible amant. Eux dormaient toujours, ne se rendirent compte de rien lorsque des rires se firent entendre. Arès ouvrit les yeux et vit autour de lui tous les Dieux de l'Olympe le regarder. Les regarder vu qu'Aphrodite dormait toujours. Il se sentit honteux ainsi, nu, avec une femme dans ses bras, pris en flagrant délit d'adultère, sans pouvoir bouger. Lorsque la Déesse se réveilla à son tour, elle cacha son visage rouge de honte entre sa chevelure et le corps de son amant tandis qu'ils rirent tous de bon cœur. Et Hadès ne le lâcherait pas de sitôt avec cette histoire stupide qui le fit tant rire.

    Heureusement, le jugement d'adultère fut clément. Poséidon prend même la défense des amoureux, tandis qu'Apollon et Hermès estiment que l'amour d'Aphrodite valait bien cette épreuve. Quant aux autres déesses, elles se gardent bien de toute moquerie à l'égard de la belle. Enfin libérés, cette humiliation les arrêtera pendant de nombreux siècles. De plus, Arès est contraint de payer pour cela et, indigné, il s'enfuit en Thrace, son pays natal, tandis que la belle déesse, quelque peu honteuse mais pas repentie, gagne l'île de Chypre. Pour une fois qu'il était heureux ...

    « L'humanité est la plus grande stupidité »

    « Mais vous êtes stupides ou vous le faites exprès ? On tend le bras comme ça ! » Et il prit la lance pour la lancer en plein dans la cible. « Ce n'est tout de même pas compliqué ! »

    Facile à dire avec une force comme la sienne. Depuis que les Dieux étaient descendus de l'Olympe, il fallait bien se fondre à la population. Il avait été d'accord pour découvrir la vie mortelle d'aujourd'hui. Il avait trouvé que c'était une bonne idée, toujours mieux d'agir que d'attendre sagement en haut de disparaitre à petit feu. Avec son aspect athlétique et sa facilité de combat, il avait trouvé un boulot sympa dans une salle de sport, spécialisé dans la lutte et la boxe. Mais quand des touristes curieux viennent, il enseigne aussi des techniques de combat d'antan. Qui mieux que le Dieu de la Guerre pour les enseigner ? Sauf qu'il était intransigeant, voire pas aimable du tout ! Il passait son temps à draguer les filles et hurler sur ceux qui ne réussissaient pas. Son boss trouvait qu'il manquait de tempérance et avait déjà reçu un avertissement. Aujourd'hui, il apprenait à manier des lances et il fallait viser une cible. Pas un n'étaient capable de quoique ce soit, ils visaient à coté ou alors elles tombaient avant la cible. Découragé, il serra les poings et tenta de se concentrer sur quelque chose d'autre. Cypris ... Voila son nouveau nom, toujours aussi beau et inspirant à l'amour. Ils se revoyaient depuis quelques siècles, elle avait quitté son mari et son amour d'humain n'était plus réapparut. Mais eux deux avaient quelque chose de spécial, un lien intemporel. Ne lui parlez pas d'amour, il vous briserait la nuque en moins de temps qu'il faut pour le dire. Puis il regarda ses élèves et soupira en passant sa main dans ses cheveux toujours blonds et secoua la tête. D'un coup, une lance vint se planter dans la cible ! Pas au centre mais pas loin. Enfin, de quoi le contenter, pas jusqu'à faire un sourire mais au moins calmer sa colère. Il allait s'approcher pour féliciter puis il reconnut le visage de l'homme ; Hadès, baptisé Hyppolite, fier de sa prestation et d'ailleurs cela se lisait sur son visage avec ce sourire. Sans sourciller ni baisser les yeux, Esteban acquiesça.

    « C'est pas mal, tu as encore quelques restes »
    « Normal, je suis le meilleur. »

    Esteban haussa des épaules et prit des mains la lance qu'un vieux touriste américain maltraitait à ne jamais envoyer sur la cible, la fois d'avant l'homme avait réussi mais sur la cible voisine. Pathétique. Le Dieu prit une seconde de réflexion et d'un geste vif et précis, la lance transperça le centre jusqu'à moitié du bois. Puis il fit craquer ses doigts avant de regarder d'un air méprisant l'américain hébété puis triomphant sur son unique ami divin.

    « Rectifions : JE sui le meilleur. » Puis un petit sourire en coin vint naitre au coin de sa bouche avant de taper dans ses mains et se tourner vers les humains « C'est fini pour aujourd'hui ! »

    Pas de merci, au revoir ... Il ne s'encombrait pas de politesses pareilles, il s'en foutait, il faisait son travail, pas besoin de lécher les bottes de ces humains qui n'avaient plus de considération pour eux. Il lacha un soupir avant de se tourner vers celui qui ne vivait jamais avec eux sur l'Olympe, trop à faire aux Enfers.

    « Tu ne viens jamais par hasard, toi. Allez viens, on va faire un tour, peut être que Dio ... Dennis nous offrira un verre, c'est sa spécialité. J'ai besoin de me changer les idées car j'ai des envies de massacres si tu savais ... »
    « Pour ne pas changer ... »
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Esteban L. Goerdizös

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Désolé pour le double post, je pense avoir fini !
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Belen C. Kalligaris
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Cypris A. Kléatos
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Anthea P. Iordanou
    c o m b a t i v e
    a . d . m . i . n

Anthea P. Iordanou


Date d'inscription : 19/01/2009
Nombre de messages : 918

Age : 40
Prénom/Pseudo : Hélène.

Divinité jouée : Athéna.
Pouvoir/Humanité Développée : Influence les esprits.

Emploi : Archiviste à l'office de tourisme.
Humeur : Gueule de bois.


GOT A SECRET
Âge du perso: 3379 ans ... ouch ! En paraît 22.
Relations:
Croyance:
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MessageSujet: Re: ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. »   ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » EmptyMar 3 Fév - 21:42

Moi aussi j'adore ta fiche. I love you (mais tu le sais)
Bienvenue et bon jeu.
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Esteban L. Goerdizös

Esteban L. Goerdizös


Date d'inscription : 01/02/2009
Nombre de messages : 226

Age : 37
Prénom/Pseudo : Steph

Divinité jouée : Arès, Dieu de la Guerre
Pouvoir/Humanité Développée : Force

Emploi : Tavaille dans une salle de sport
Humeur : Dévastatrice


GOT A SECRET
Âge du perso: 3370 années divines -- 27 années humaines
Relations:
Croyance:
ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » Left_bar_bleue100/0ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » Empty_bar_bleue  (100/0)

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MessageSujet: Re: ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. »   ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » EmptyMar 3 Fév - 21:49

Merci cyclops
Arès m'a inspirée (comme je l'ai dit, j'aime bien les couillons Laughing )
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MessageSujet: Re: ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. »   ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. » Empty

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ARES __ « La guerre ne salit pas l'idéal, c'est l'idéal qui purifie la guerre. »
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