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 Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. »

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MessageSujet: Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. »   Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. » EmptyLun 2 Fév - 2:18


Découvrez Maroon 5!



METAXAS; Kalliopê / Hestia
Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. » 335cy09
19 années humaines / 4300 années divines
Baby-sitter

FALLEN GODS



    Pseudonyme/Prénom ; Jess.
    Âge ; Samedi, j'aurais 17 ans x)
    Fille ou Garçon ; Fille Razz
    Célébrité ; Camilla Belle.
    Code ; code ok
    Une suggestion ? Euh pour l'améliorer ? Non, il est déjà parfait, vraiment. Je suis totalement sous le charme du design, et le contexte, n'en parlons pas. C'est un thème que j'adore réellement.
    Comment avez-vous découvert le forum ? Margaux cat


Dernière édition par Kalliopê Metaxas le Mar 3 Fév - 22:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. »   Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. » EmptyLun 2 Fév - 23:39

« When Gods were practically alone in Earth. »


    « Hestia ? »

    La Déesse releva la tête. Ses longs cheveux auburn balayèrent le livre ouvert sur ses genoux. Elle écarta avec douceur l’une de ses mèches fournies, dégageant son impénétrable regard mordoré et son visage sérieux. Elle était d’une beauté obsessionnelle, sous son enveloppe divine, mais elle gardait cette austérité qui maintenait la majorité des hommes, qu’ils fussent mortels ou immortels, à distance. Néanmoins, cela n’avait jamais marché pour ses frères. Zeus, par exemple. Il avait passés de nombreuses années à la courtiser. Toujours plus tôt lors de leurs discussions, toujours plus pressant dans ses gestes. Et surtout de moins en moins patient, discret. Héra menaçait de découvrir la passion qui dévorait son époux à l’égard de sa sœur ; cela pourrait d’ailleurs se révéler fatal pour la Déesse du Foyer étant donné que sa consoeur du mariage n’était pas réputée pour son pardon infini… Zeus fut finalement réfréné dans ses ardeurs lorsqu’Hestia jura sur le Styx de ne jamais avoir de relation sexuelle, avec qui que ce soit. Un serment de virginité, comme celui fait par Artémis, quelques années plus tôt. Et si elle venait à rompre sa promesse, le malheur – ou même la mort – s’abattrait sur elle, éclaboussant au passage celui ou celle qui se permettrait de la souiller ainsi. Mais les années, les millénaires avaient passé, laissant la jeune Déesse seule, elle qui était en réalité l’aînée de tous.

    « Que me veux-tu, mon frère ? »

    Sa voix, calme mais puissamment portée, résonna avec un léger écho dans la grande pièce aux grandes ouvertures. De nos jours, sa voix aurait plus correspondu à une soliste de gospel chantant dans une église noire, vibrante et pleine de vie. Mais elle n’avait pas du tout la même carnation ; sa peau était faite de centaines de milliers d’éclats de diamants en plein soleil, et du marbre le plus pur, le plus immaculé en temps normal. Elle gardait des expressions neutres sur son visage finement ciselé. Elle n’aimait pas particulièrement l’homme qui se trouvait en face d’elle, cependant ce serait le comble pour la Déesse du Foyer de se montrer inhospitalière.

    « Je désirai m’entretenir un temps avec toi. Tu n’ignores sans doute pas que je prône la débauche, ou plutôt la consommation de nos envies, ce qui entraîne le plus souvent la destruction des familles sur lesquelles tu veilles, n’est-ce pas ? »
    « Je n’ai que faire de tes dires ! Cesse de t’évertuer à tenter de m’infliger un quelconque tourment, Dyonisos. Je sais que l’amour, qu’il soit fraternel, parental ou dans un couple, est plus fort que les plaisirs de la vie que tu leur montres, que les boissons que tu leur offres, que l’appel de cette chair que tu aimes tant… » répliqua-t-elle en gardant un sang-froid remarquable.

    Le Dieu venait souvent lui chercher des problèmes, en lui démontrant que ses buts étaient parfois plus rapidement atteints que les siens. Et que l’Homme désirait davantage de plaisir et de famille.

    « Allons, ma chère et tendre sœur… Tu ne peux nier que la Nature des Hommes est depuis longtemps pervertie. Et je te prie de croire que pour une fois, tout n’est pas entièrement ma faute. »
    « Suffit ! »

    La Déesse se leva, superbe dans sa brusque fureur éclatante. Ses iris étincelaient, leurs paillettes d’or captant les rayons lumineux pour les renvoyer avec toujours plus de force au fil des secondes. Un sourire tordu anima les lèvres du Dieu qui se pencha pour ramasser le livre, étalé faiblement aux pieds de sa sœur. Il le lui tendit, effleurant malicieusement sa main d’albâtre lorsqu’elle le prit sèchement.

    « A quoi joues-tu, Dyonisos ? »
    « A quelque chose dont tu ignores tout, tendre Hestia. »

    La femme recula de quelques pas, un bref éclair d’incompréhension passant dans ses prunelles. Elle recouvra son calme, elle releva le menton bien haut et planta son regard décidé dans celui de l’homme.

    « Va-t-en. »

    Un rire mystérieux secoua tout le corps du Dieu des Festivités qui leva ses deux paumes vers elle.

    « Soit, soit. »

    Sa silhouette avait franchi le seuil depuis de longues minutes, mais son gloussement pervers régnait encore dans la pièce, rendant nauséabonde l’atmosphère divine. Hestia baissa le regard, posant son livre dans ce même geste, puis elle étouffa un soupir en disparaissant dans une myriade d’étoiles multicolores. Que les hommes étaient agaçants !
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MessageSujet: Re: Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. »   Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. » EmptyMer 4 Fév - 1:40

« Human life ; divine memoirs. »


    Kalliopê examina d’un œil critique son reflet, qui apparaissait légèrement flou dans le minuscule miroir de sa petite salle de bain. Dans cette vie, l’argent ne coulait pas à flot et cela se ressentait. C’en devenait comique quand l’on pensait qu’elle n’avait jamais eu de réincarnation pauvre : reine, princesse, dauphine, fille de duc,… Et le reste n’était pas moins glorieux. Néanmoins elle devait aujourd’hui s’habituer à ce train de vie plus morne, à la fois habituel et totalement inconnu. La Déesse posa ses doigts sur les bords de son visage, s’amusant à le modeler de différentes façons. Elle, qui avait toujours été l’aînée de tous, se retrouvait désormais en dernière position : elle était devenue la plus jeune. C’était en un sens désagréable et agréable. Elle n’était certes pas couvée par les siens du fait de son âge mortel, mais, disons que les humains plus âgés qu’elle, avaient tendance à la materner un peu. Ce sentiment était étranger pour elle, son père l’ayant dévorée à la naissance, puis simplement recrachée en étant adulte. C’était assez traumatisant, mais elle s’en était remise, comme à chaque fois. Poussant un soupir las, la jeune Immortelle laissa retomber ses bras le long de son corps. Elle avait beau s’habituer rapidement à son corps, qu’elle connaissait parfaitement depuis 4300 ans, elle n’arrivait jamais à faire fi des différences minimes qui lui apparaissaient de manière flagrantes. Ses iris n’étaient pas aussi sombres, dans son ancienne vie, ses pommettes pas si hautes, et ses cheveux pas aussi lisses,… Mais curieusement, cette fois elle était presque satisfaite du sort. Certes elle ne retrouverait peut-être jamais la beauté irrationnelle qui la caractérisait lorsqu’elle était sur l’Olympe, mais cette enveloppe corporelle-ci avait un air très ressemblant si l’on omettait la couleur de sa chevelure, de ses yeux et de sa peau.

    « Cesse de te lamenter, Hes… Kalliopê. Oui, Kalliopê. Il faut vraiment que je m’habitue à ce prénom. Ce serait fâcheux de me tromper d’identité… Kalliopê… » marmonna-t-elle en passant une main dorée dans ses cheveux sombres.

    Elle les attacha en une rapide queue de cheval et ouvrit la porte. Dans ses souvenirs, elle descendit l’escalier. Elle avait toujours gardé un mauvais souvenir des brunes… Comme un traumatisme que l’on a dès la naissance. Sauf que pour Kalliopê, cela remontait à une période bien antérieure. Elle était encore Hestia, à l’époque. La Déesse du Foyer, l’une des femmes inaccessibles de l’Olympe. Mais cela n’empêchaient pas certains de la courtiser… Avant qu’elle ne jure sur le Styx. A partir de cet instant, ils la laissèrent tranquille. A quelques exceptions près. Mais si les hommes ne s’approchaient guère plus d’elle, les femmes ne se gênaient pas pour lui chercher des noises. Elle, qui s’entendait bien avec tous ses frères et sœurs ne pouvait plus supporter l’une de ses consoeurs. Elle, celle qui représentait la Discorde. Cette sirène démoniaque, à la chevelure d’ébène. Son ennemie de toujours.


* * *


    « Eris. »
    « Hestia. »

    Les deux femmes Divines s’affrontèrent du regard. L’une arborait des cheveux couleur de l’encre, l’autre comme des flammes endormies. Elles se tenaient face à face, immobiles comme les statues qui peuplaient le monde des humains. D’ordinaire, elles évitaient de se croiser. A vrai dire, elles essayaient de ne pas avoir de nouvelles l’une de l’autre ; elles dénigraient tout ce qui pourrait les rapprocher, en somme. Mais chacune savait les faiblesses de l’autre, et s’en servait au moindre prétexte. Un sourire narquois plissa les lèvres pulpeuses de la brune. Elle se pencha légèrement vers sa sœur, prenant un air de conspiratrice.

    « Est-il vrai que j’ai encore fais des bêtises ? J’aurais, par mégarde cela va de soi, détruit des foyers sur lesquels tu veillais, Hestia ? »
    « Ravale ton venin. Tu es pire que toutes les créatures animales qui peuplent la terre des mortels, Eris. Et je sais pertinemment que tu ne fais jamais rien par hasard ! »
    « Quelle agressivité, quelle colère ! » remarqua de façon triomphante la femme.
    « Va rendre visite à Hadès, au lieu de m’importuner ! »
    « Voyons, est-ce ainsi que l’on traite sa sœur et invitée ? »
    « Qu’est-ce que tu… »

    Sa phrase mourut brutalement lorsque son regard mordoré s’abattit sur les pieds de la Déesse. Ils avaient dépassé le seuil de sa pièce principale. Une moue victorieuse se dessinait progressivement sur le beau visage d’Eris. En plus d’être la représentante de la Discorde, elle évoquait la Séduction malsaine voire malfaisante. Quand Aphrodite symbolisait l’amour et la beauté lumineuse, sa consoeur elle prenait toute la noirceur chez la femme pour la faire devenir obsession. Elle était envoûtante, et aussi mortelle qu’un poison.

    « Que disais-tu ? »

    La Discorde tendit une main moqueuse vers Hestia. Tout en elle n’était qu’illusion, subterfuge, moquerie et mensonge. Le geste de la Déesse du Foyer ne se fit pas attendre. Un bruit sec résonna dans la pièce, et les yeux d’Eris s’agrandirent de surprise. Sur le dos de sa main se formait une tâche rosée ayant la forme de deux doigts. Elle ouvrit la bouche, mais ne su que dire. Hestia ne l'avait jusqu’ici jamais frappée. La femme à la chevelure auburn se rapprocha et prit délicatement le visage parfait de sa consoeur, entre le pouce et l’index.

    « Tu n’as rien à faire ici, Eris. Je te conseille d’aller semer tes perles de Discorde ailleurs, car tu confonds Foyer et Hospitalité. En cet instant, tout du moins. »
    « Garce. »

    Le mot siffla, unique, provocant. Seul un tressaillement des lèvres sur les traits imperturbables d’Hestia indiqua qu’elle l’avait entendu. Elle relâcha sa sœur et recula. Sa tête demeurait haute, ses gestes avaient trouvés un certain calme. Elle était l’aînée, l’aînée de tous et de toutes. Même si elle n’occupait pas le poste de Zeus, ils lui devaient un incontestable respect. Une once de respect, au minimum.

    « Ta présence m’insupporte, Eris. » souffla-t-elle en tournant dans talons.

    Elle se dirigea vers un grand fauteuil immaculé, où elle se lova, un livre ayant soudainement apparu dans sa main. La Déesse de la Discorde avala sa salive, puis franchit de nouveau le seuil. Elle aurait sa revanche. Elle l’avait toujours d’ailleurs. Toujours.


* * *


    Kalliopê posa un pied sur la dernière marche. Se remémorer cette scène ne lui avait prit que quelques secondes. Elle avait gardé tous ses souvenirs intacts, et c’était un bon signe. Elle faisait toujours confiance à ses souvenirs. Elle salua ses géniteurs actuels, qui lui sourirent chaleureusement. Ils l’aimaient : comment en aurait-il pû être autrement ? Elle embellissait leur demeure par sa simple présence, elle était leur souffle de joie chaque jour. Sa mère lui caressa la joue, un geste qui ne cessera d’étonner la jeune femme.

    « Tu es sûre de ne pas vouloir rester plus longtemps à la maison, ma chérie ? »
    « Non, Mère, je t’assure que je serais très bien là-bas. Je connais ces gens depuis des millénaires, ils sont ma famille. »
    « Tu parles bizarrement, parfois… Et puis, appelle-moi Maman pour une fois ! » ronchonna l’humaine, en laissant retomber son bras.

    La Déesse fit un sourire compatissant, puis cacha son soupir désabusé.

    « Ca va aller, Maman. »
    « Bien… Allez, viens nous embrasser, ma chérie. Tu vas nous manquer ! »

    S’en suivit un nombre incalculable d’étreintes, où se mêlaient parfois les larmes de Lena, la génitrice. Quelques heures plus tard, Kalliopê se trouvait devant les trois grandes demeures qu’habitaient les Dieux Déchus. Après un bref regard, et de la concentration, elle sentit les énergies des siens. Un sourire radieux s’enflamma sur ses lèvres pleines. Elle allait retrouver sa véritable famille… Pour une nouvelle vie.
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MessageSujet: Re: Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. »   Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. » EmptyMer 4 Fév - 3:38

Désolée du double post, mais je pense bien avoir terminé I love you
Avec 2 014 mots, s'il vous plaît Smile

P.S : J'avoue que ce n'est guère un record, mais c'est déjà bien non Razz ?
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Pouvoir/Humanité Développée : communiquer avec les animaux.

Emploi : monitrice de plongée
Humeur : Massacrante


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Âge du perso: 3356 ans. Dans cette vie, 27 ans.
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Croyance:
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Magnifique RP. Absolument rien à dire. Tu as parfaitement compris le contexte. Wink
Bon jeu. Tu habites dans la villa Santorinii.
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MessageSujet: Re: Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. »   Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. » EmptyMer 4 Fév - 20:25

Merci Maëva I love you
C'est aussi grâce à toi @

Allez, je file préparer mes premiers RPs, encore merci à toutes pirat
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Belen C. Kalligaris
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Bah, tu m'as posé des questions, j'ai répondu. lol.
Mais tu as bien compris. Wink

*hâte de lire tes rps*
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MessageSujet: Re: Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. »   Hestia ◘ Kalliopê Metaxas - « Que cette foi s’éteigne ; et les Dieux meurent. » Empty

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