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 Hadès | Hippolyte M. Bleïtos

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MessageSujet: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyLun 2 Fév - 23:41

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Hadès
Bleïtos, Hippolyte Marcus

Hadès | Hippolyte M. Bleïtos 08copy

« 4150 ans pour mes pairs,
27 ans pour les autres. »

Ecrivain, Poète,
Dieu des Enfers et des Morts.


FALLEN GODS




    Temps Indéfini
    Le Tartare - Les Enfers

    La journée opérait un certain charme, Hadès lui-même ne pouvait pas s’en cacher. Pas qu’il soit de bonne humeur, ô grand jamais, il était encore d’un tempérament exécrable en ces heures, mais la satisfaction de sa perversion enivrait ce gigantesque royaume de chaos et de tranquillité mêlés qu’étaient les Enfers. Il se surprenait lui-même de cette sorte d’allégresse malsain, mais ses desseins étaient si obscurs qu’il demeurait convaincu que sa grandeur divine ne pouvait en être que couronnée de succès et d’aisance. « C’était un temps où je croyais m’élever au-delà des cieux de l’Olympe, alors que je gravissais seulement le mont Désillusion », écrivit-il bien des millénaires plus tard. A cet instant, il ne pensait ni à l’échec, ni à l’incertitude ; son entreprise démesurée mais séduisante le ravissait au plus haut point. Elle le rendait, certes, plus cruel encore qu’il n’était impitoyable d’accoutumée, mais il s’était fait à cette idée d’être un dieu craint et détesté, jusqu’à en cultiver les fruits chaque jour, chaque nuit durant. Epris de sa propre légende, Hadès s’était davantage fait dieu qu’il ne l’était véritablement né.

    Après ces quelques instants de songes éperdus et insensés, il descendit jusqu’au Tartare, la redoutable et légendaire prison des Enfers ; là étaient enfermés les Titans, bien sûr, mais guère seulement. Se découpant dans l’ombre des roches noires, lourdes, austères et inhospitalières, Hadès sortit soudainement des ténèbres, amenant immédiatement avec lui un souffle de terreur. Une sensation froide s’étendit par delà chaque recoin de la vaste salle voûtée, mais toute l’attention du dieu fût pour un homme dont l’épuisante tâche semblait être celle de pousser à la force des bras un immense rocher sur une surface largement inclinée. Il ne le connaissait que trop bien, pour aimer lui rendre visite tous les cinq à dix ans. A l’échelle temporelle d’un mortel, cela pouvait paraître une éternité, mais pour lui ce n’était qu’une sorte de rituel récurrent, comme une promenade chaque premier dimanche du mois.

    « Comment se porte le piteux Sisyphe aujourd’hui ?
    - Rages-tu encore, Hadès, répondit l’appelé avec ce qu’il faut d’arrogance, qu’un simple mortel ait, à la seule force de sa ruse, réussi à tromper ta vigilance, s’échappant par la même de ton royaume ?
    - Tu es mon éternel prisonnier, mon cher, répondit froidement le Maître des Enfers. J’ai une bien différente idée de la réussite de ce fait. »

    Quoi que le dieu eusse admis, Sisyphe avait, en effet, réussi à le tromper ; cette erreur avait été réparée, et l’arrogant avait été puni, mais la confrontation demeurait depuis ce temps. Homme astucieux, peut être l’avait-il été, mais désormais il n’était qu’un mortel condamné à l’existence au cœur du Tartare, et rien ne viendrait le sauver. C’était pourquoi Hadès en profitait pour en faire sa victime favorite. Quand un châtiment devait être rendu pour le besoin de son impulsivité, Sisyphe venait alors en tête de liste. De toute façon, ils aimaient tous deux ce rapport de force au travers du temps, rappelant à l’un comme à l’autre que l’immortalité avait son lot de tortures, qu’on l’ait mérité ou non, qu’on le conçoive ou non. Hadès le premier admettait volontiers que, puisqu’il parlait peu, il éprouvait toujours de la nécessité plus que de l’envie chaque fois qu’il devisait avec qui que ce soit. Dans l’éternité de sa solitude, de son refuge, dans les Enfers reclus, il était en accord avec son sombre être de néant et d’infini. Et, maintenant qu’il venait briser son silence auprès d’un de ses prisonniers, il avouait, quelque peu malgré lui, que ses pensées méritaient d’être sues et partagées, même en une infime partie.

    « Le monde regorge de convoitises, reprit Hadès sur le ton de la conversation. Mes pairs et moi, nous autres les dieux, sommes les premiers à être séduits par l’appât de ce que nous désirons quand la passion davantage que la raison nous l’impose et impute. Mais je suis différent de mes frères et sœurs. Du moins, l’étais-je.
    - Tu pourrais être condamné à habiter les Enfers pour l’Eternité pour une telle faute, Hadès ! railla Sisyphe. »

    Sitôt que ces mots se déployèrent de la gorge de l’arrogant, le gigantesque rocher qu’il poussait à bout de bras s’abattit sur lui jusqu’à le ramener en bas de la colline. D’un léger geste de la main et d’un froncement de sourcil, telle avait été la volonté d’un Hadès contrarié par autant d’insolence. Décidément, Sisyphe avait ce « quelque chose » qui le distrayait autant que l’irritait. D’ailleurs, le dieu des Enfers lui-même reconnut ensuite dans ses écrits ce mortel comme « un être corrompu, oui, mais corrupteur car malin au malsain ». Ce dernier se redressait péniblement pour reprendre la lourde tâche qui lui imputait, tandis que son geôlier se réappropria donc toute son attention, et certainement l’entièreté de son silence.

    « Déméter, ma sœur, a dissimulé au regard du monde, mortel et divin, la seule convoitise capable de me corrompre jusqu’à la déraison, reprit le Maître des Enfers (il parlait sans un regard pour son interlocuteur, errant dans la noirceur de son royaume, tantôt au contact des parois, tantôt à cents lieues de là). Vous autres mortels ne pouvez voir la pureté de cette luminescence dont seul un être divin dispose.
    - Quelle est-elle ? ne pût s’empêcher de souffler Sisyphe, dont la respiration restait hachée par son effort. »

    Posant un regard froid et éloquent sur lui, Hadès le dévisagea de longues secondes. Cette question lui semblait d’une trivialité inconsidérée, comme s’il avait osé injurier un dieu devant lui. Sisyphe ne se rendait pas compte de la flamme consumant son maître, parce que ce dernier ignorait lui-même la portée d’un tel brasier. D’un regard, il avait déjà été acquis à son désir, et ensuite à son manque. Chaque fois qu’il osait y repenser, il songeait avant tout que son existence avait l’austérité et le dépit de l’absence qu’il avait consciencieusement choisie pour allié premier. S’étant volontairement séparé du reste des dieux de l’Olympe, il voyait les Enfers comme ses défenses, ses armes, mais aussi sa demeure. Que ne lui fallait-il pas pour être satisfaire ? Régner sur les seules terres refusées des autres. Mais – parce qu’il y en a toujours un dans les histoires – il avait trouvé la force, la volonté et le devoir de rompre avec cette coutume étrange et personnelle. Egaré dans ses songes, Hadès s’abandonna à sa folie, et le mot lui échappa comme un dernier souffle échappe aux lèvres d’un mourrant :

    « Perséphone. »

    Sisyphe ne fût pas interpellé par ce nom, car, comme Hadès l’avait déjà dit, elle avait été dissimulée par sa mère, en Sicile. Perséphone n’existait que dans l’ombre de sa mère, Déméter, et dans la pesante volubilité de son père, Zeus. Mais Hadès avait vu en sa nièce ce que tant cherchaient alors à dissimuler. Il était un dieu, un des plus grands dieux qui furent créés, mais il avait été séduit, emprisonné, soumis par l’immense beauté de la déesse. Perséphone hantait tout ce qui était en lui, mort ou vivant, mortel ou divin. Que ce fût de l’Amour, de l’attirance, ou seulement du fanatisme, il avait résolument choisi de l’enlever à sa cachette pour en faire sa reine. Voilà quel était son projet insensé, démentiel, mais qui le ravissait avec excès. Ce fût à cet instant que Sisyphe fût interpellé par un détail qui n’avait guère frappé son esprit auparavant. Le dieu des Enfers lui accorda la considération froide, solennelle et pourtant victorieuse qu’il avait l’habitude d’accorder à quiconque venait d’être condamné à pénétrer son royaume, et ce jusqu’à la fin des temps :

    « Mais, n’est-elle pas la fille de Déméter ? remarqua donc le mortel.
    - Qu’importe, qu’aujourd’hui elle soit sa fille, piteux Sisyphe, demain, elle sera ma femme. »

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MessageSujet: Re: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyLun 2 Fév - 23:43

    Temps Indéfini
    L’Erèbe - Les Enfers

    « Faire de moi ta reine ne t’a jamais autorisé à me soumettre, Hadès. Je suis autant déesse que tu es dieu, ne l’oublie jamais, siffla Perséphone avec acidité. »

    D’un soupir las et contrarié, le dieu des Enfers réprima la moindre contestation. Il était vrai que son épouse s’accordait toujours à ses décisions, et se montrait même plus que coopérative quoi qu’il en fût, mais elle avait cette fâcheuse tendance à ne jamais oublier qu’elle n’avait point rejoint ces lieux de son plein gré, et que cet amertume lui demeurerait à jamais. Hadès, lui, se satisfaisait pleinement de cette condition ; qu’importe que son épouse ne lui fût complètement acquise, elle régnait à ses côtés la moitié du temps que comptait une année, et il en était si épris qu’il aurait tout sacrifié, frère et sœur, mortels et divins, pour la garder près de lui. En faire sa reine n’avait pas seulement été un caprice, comme son frère Zeus en éprouvait des centaines, cela avait été pour Hadès une rupture immense avec sa solitude et le néant que lui insufflait continuellement la mort. Désormais, elle était là, à lui, et ce pour l’Eternité. Il en demeurait convaincu.

    « Que tes lèvres forment une lascive barrière quand tes mots sont aiguisés, reprit le dieu.
    Ta mère t’avait cachée au monde pour ton immense beauté, mais que n’es-tu pas plus illustre, là, à mes côtés ?
    - Condamnée à être la déesse des Enfers et de la Fertilité, rétorqua-t-elle sarcastique. »

    Sur ces mots, aux détriments de la Nuit, de la Mort et de Cerbère, le terrible chien à trois têtes, là, au milieu de l’Erèbe, Hadès s’approcha de Perséphone avec l’apparat de l’obscurité. Il se glissa près d’elle comme une ombre, à la fois prédateur et proie, exultant secrètement au moindre contact qu’elle lui offrait, envers et contre elle-même. Dans le déguisement mortel qu’il arborait bien malgré lui, il alla jusqu’à déposer ses mains glacées sur les épaules de la déesse. Quoi qu’elle ne dise rien, il la devinait frémissante, si ce n’était fébrile. Un spectre l’habitait, plus puissant que sa volonté. Hadès devinait cette présence avec aisance et délectation, et c’était ce pourquoi il ne tarissait jamais de sentiments pour elle. Perséphone était son épouse, sa reine, sa déesse, la remplaçante de l’absence et de la solitude. Elle était d’une superbe qu’il n’avait jamais vue, d’une dignité inégalable, et d’une beauté à ranger au suicide toutes les mortelles confondues. De toutes ses sœurs, jamais le dieu des Enfers n’avait pu éprouver pareille fascination ; et c’était auprès d’elle, sa nièce, certes, mais son épouse surtout, qu’il s’était enivré et qu’il s’enivrait jour après jour.

    « Te remettre à ta mère tous les six mois revient à me mettre au supplice, tu le sais, susurra Hadès. Ta présence m’est indispensable pour gouverner aux morts et protéger le monde des vivants de l’horreur de ces pertes. Moi, dans ce chaos, dans cet infini venant prolonger la vie, je ne puis que m’en remettre tout entier à toi. Et qu’importe, mon Amour, qu’importe que les dieux et les mortels me détestent, si toi…
    - Hadès, souffla-t-elle en réponse, comme dans l’espoir de l’interrompre à jamais.
    - Qu’importe, mon Amour, reprit-il pourtant,
    si toi tu m’aimes. »

    De nos jours
    Le Port - Santorin

    « Je déteste les mortels, soupira Hadès.
    - Et moi donc, répartit Arès. »

    Son oncle le dévisagea un instant avec une lueur malicieuse ; malgré les millénaires passés, malgré leurs transformations réciproques, ils étaient restés particulièrement complices et le plus souvent sur la même longueur d'ondes. Les dieux de la Guerre et des Morts avaient su s'entendre de par leurs affinités avec le reste du commun des mortels mais également des divins. Ils étaient tous les deux craints et détestés, et ils étaient vrais que les siècles passés n'avaient en rien changé ce qu'ils étaient au plus profond. C'était pouquoi ils entretenaient souvent de longues conversations, les rares qu'Hadès concédait pour dire vrai. Elles étaient presque toutes pour son neveu, car Arès - désormais nommé Esteban, demeurait quasiment le seul à pouvoir le comprendre sans qu'il ne dût mentir avec trop d'aplomb ou de fierté. Le maître éternel des Enfers pouvait exprimer ses opinions sans trop blesser son art de manier le secret, le silence et de conjuguer l'absence et le manque. Encore aujourd'hui, dans la pénombre du port qui observait le soleil se coucher sur l'horizon, ils devisaient de tout et rien, comme de simples mortels, en fait, à la différence qu'ils devaient apprendre à parler de leur propre condition d'existence dans le même temps.

    « Je les sens m'anéantir jour après jour ; ils ne conçoivent pas que leur manque inerte de foi asservit, amenuit et détruit nos forces d'immortels, ajouta Hadès sans chercher à dissimuler son dégoût.
    Je suis réduit à identifier leurs craintes et à les animer jour après jour, à leur insuffler la terreur par le doute et l'insécurité. Des années bien avant, mon royaume aurait été plus grande menace que leur pathétique Enfer.
    - Je sais.
    - Ils m'ont pris tout ce à quoi je tenais. Ils m'ont tout pris. »

    Voyant le regard d'Arès sur lui, le dieu des Enfers se contenta d'ignorer la réaction. Il était trop fier pour se laisser aller à un long plaidoyer sur ses plus grands regrets. Les mortels lui avaient enlevé son épouse, à force de ne plus avoir foi en elle, elle en avait été réduite à cet état de misère et de pathétique insoutenable. Puis elle avait disparu, et lui s'était retrouvé seul, sans rien. Il avait dû s'en remettre à la solitude qu'il avait toujours tant aimée, mais qui, désormais, ne lui suffisait plus. Et cela faisait trop longtemps qu'il errait entre la vie et la mort, sans trouver sa place. Son métier d'auteur lui permettait de coucher sur papiers des pensées et réflexions éparses et quelques fois incompréhensibles ; c'était parce qu'il ne parvenait jamais à écrire - et à dire non plus d'ailleurs - le nom de Perséphone qu'il était incapable d'être reconnu pour son talent. Il vivait son anonymat avec désolation, et son seul réconfort était bien ces instants où, avec Arès pour exemple, il pouvait délivrer rien qu'un peu de ce qu'il éprouvait sans devoir mentir et manipuler, comme il le faisait avec toutes ces femmes séduites mais qui, jamais non jamais, ne saurait remplacer son épouse, son éternelle, son infini.

    « Hippolyte, intervint le jeune dieu. Hey, ajouta-t-il en secouant légèrement son oncle par l'épaule. Hadès !
    - Quoi ?
    - Il serait peut être temps que tu assimiles ta vie telle qu'elle est. Hippolyte, ponctua-t-il pour interpeller son interlocuteur. »

    Hadès eut un regard voilé pour Arès, puis il s'en détourna. En effet, sa vie se résumait cordialement à cela ; ni plus ni moins. Il aspirait à retrouver son épouse, et nulle autre chose ne l'animait. Chacune de ses relations ou presque tournait autour de cet amour perdu, de cette fascination violée, lacérée et tuée. Il ne parvenait pas à réaliser que le seul élément ayant bâti son mythe n'était plus ; non, un dieu vivait dans l'immortalité. Il le voulait si fort qu'il ne concevait pas que sa volonté ne fût pas exaucée. Mais puique c'était lui le dieu, quel sens avait un souhait ? Il se retourna donc une ultime fois vers son neveu, le regard terne, austère et pourtant fermé.

    « Regarde-toi, A... Esteban. Tu n'es plus que l'ombre de toi-même ; fût un temps, tu pouvais être mettre de toutes les batailles, et plonger les mortels dans la guerre. Et maintenant ? Tu es juste bon à animer leurs jeux du cirque.
    - Mais...
    - Tu sais, je donnerai tout ce qu'il me reste encore pour retrouver ce qui m'a été enlevé. Du royaume des morts à celui des vivants, je n'hésiterai à commettre aucun acte s'il pouvait m'être restitué ma raison d'exister.
    - Per...
    - Tais-toi ! coupa sèchement Hadès. Je te l'interdis. Si je ne la retrouve pas, murmura-t-il soudainement plus calme mais aussi plus pensif.Esteban, si je ne la retrouve pas, je veux qu'elle me retrouve. »
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Cypris A. Kléatos
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MessageSujet: Re: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyLun 2 Fév - 23:58

Je ne sais pas si ta présentation est terminée. Si elle ne l'est pas j'effacerais ce message, mais j'avais une chose à dire :
Ouah. Ta fiche est splendide Smile
Et surtout bienvenue !
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MessageSujet: Re: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyMar 3 Fév - 0:01

    Merci, jeune demoiselle.
    Et j'ai fini, en effet.
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Cypris A. Kléatos
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MessageSujet: Re: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyMar 3 Fév - 0:02

On voit ça entre administratrices, et on te dit ça Smile
En attendant, j'exige un lien (a)
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MessageSujet: Re: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyMar 3 Fév - 0:10

Bienvenue ici. =)
Nous voyons ça entre admins et on te dit. Wink
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MessageSujet: Re: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyMar 3 Fév - 0:19

Cypris A. Kléatos a écrit:
En attendant, j'exige un lien (a)

    J'exige... non mais ! qui es-tu diable pour exiger quoi que ce soit ? Razz


    J'attends le verdict, alors Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Hadès | Hippolyte M. Bleïtos   Hadès | Hippolyte M. Bleïtos EmptyMar 3 Fév - 0:31

Rien à dire. Fiche tout simplement parfaite. Tu as cerné notre cher Hadès sans souci.
Bon jeu à toi. Wink
Validée.
Je t'enlève le . à la fin de ton pseudo.
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